Accueil Basket/Hand/Volley APRES L’AFROBASKET U16 : NE PAS LAISSER TOMBER LES ENFANTS

APRES L’AFROBASKET U16 : NE PAS LAISSER TOMBER LES ENFANTS

Par LeSportgentillais

Au moment où les Panthères U16, garçons et filles regagnent le pays après une compétition en Egypte longue et éprouvante, l’heure est aux perspectives. Une question assez simple s’impose alors à nous. Que doit-on faire de ces enfants qui ont perdu, très souvent par des scores lourds, mais qui n’ont jamais renoncé ?

L’Afrobasket est terminée et tout a été dit sur le niveau de nos représentants, sur leur présence dans cette compétition africaine, bref tout a été dit sur les raisons des défaites des petites Panthères.

Il est aujourd’hui question de se tourner vers l’avenir. Cet avenir qui se fera aussi avec ces jeunes qui ont cumulé en l’espace de quelques jours, plusieurs années d’expérience.

Des regroupements sporadiques même l’espace d’une semaine sans forcément se préparer à une compétition internationale, des matchs amicaux internationaux, un suivi de l’évolution individuelle des enfants présents au Caire. Si la tâche de la FEGABAB s’annonce assez importante, il n’en demeure pas moins qu’elle reste l’une des solutions pour que ces défaites en terre des Pharaons ne se transforment pas en échec total.

En d’autres termes, il serait convenable que ces filles et garçons, de retour de l’Afrobasket soient réellement suivis.

La solution pour les plus jeunes, les centres techniques

Il y a quelques mois, lors de son arrivée à la tête de la Fédération Gabonaise de Basketball, le bureau actuel faisait état de la mise en place des Centres Techniques provinciaux pour les jeunes avant le Centre Technique National. Plusieurs localités à l’instar de l’Ogooué-Lolo avaient même déjà ouvert les portes de leurs centres.

Malheureusement, la pandémie prenant de l’ampleur, il était impossible, nous pouvons le comprendre que tous ces centres techniques se mettent en place.

En attente de l’assouplissement des mesures barrières, l’entrée des enfants dans ces établissements à travers le pays constituerait un réel vivier pour les sélectionneurs dans ces différentes catégories des jeunes.

Sans que les points énoncés ne soient exhaustifs, il existe donc des pistes de solutions pour que ce qui s’est passé en Egypte soit l’élément déclencheur d’un renouveau du basketball gabonais.

Pépéh NDONG MEYO

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